dimanche 15 novembre 2009

12 Novembre 2009 - Le départ

De 2009 11 13 - Voyage aller



Une journée sans fin...

Réveil à 6h même si le réveil était mis à 6h30 ...
Le réveil sonne, difficile de se lever.
La radio nous dit que la grève est presque finie. Bonne nouvelle !

Soulagés, nous décidons donc de prendre le RER pour aller à Roissy.
Le parcours du combattant commence ...
Arrivés à Denfert, le prochain train est annoncé pour dans 1 minute. Derrière moi, j'entends "ca fait bien 20 minutes que le prochain train est annoncé dans une minute !"
Oups, va-t-on réussir à prendre notre avion ?
Un premier train arrive. Bondé, nous n'arrivons même pas à approcher des portes.
On prendra le prochain. Le temps passe. Le prochain est annoncé dans 2 minutes, 10 minutes plus tard, 1 minutes.
OUf, il arrive. Nous y entrons comme dans une boite à sardines avec nos gros bagages. Il est 8h, l'enregistrement se termine à 10h15.
Ca devrait aller.
Le train est conduit par 5 conducteurs.
Arrêts prolongés à Chatelet, à Gare du Nord. Train d'escargot jusqu'à la plaine-Stade de France.
Il est 9h et nous sommes à peine sortis de Paris.
A Drancy, arrêt prolongé encore. Je suppose qu'on a changé de chauffeur.
Ensuite arrivée sans encombre à Roissy. Il est 9h15.
Enregistrement.
Passage de la douane. Un guichet sur 2 en panne ;-)
Passage de la zone duty free très rapidement. Petite Marie stressée.
Nous passons le dernier contrôle. Il est 9h30. Marie s'énerve pour ranger rapidement ses affaires sous les yeux médusés d'une contrôleuse : " vous allez louper votre avion ?"
Bin, non, mais j'ai horreur de ces files :-/

De 2009 11 13 - Voyage aller


1h30 à tuer ...
L'A380 est déjà là.
Il prend 3 portes d'embarquement. Je l'imaginais encore plus grand.

On monte enfin dedans. Pour une classe économique, il ne faut pas se plaindre, même pour les grands il y a assez de place pour les jambes.
Chaque siège dispose d'un écran et d'une télécommande permettant de visionner un nombre impressionnant de films à la demande, d'écouter plusieurs centaines d'albums au choix, de suivre l'avancement du vol et même de jouer à des petits jeux.
Les hôtesses sont charmantes, toutes habillées d'un uniforme qui est probablement censé rappeler des habits traditionnels de Singapour.
Le vol se déroule bien, mais c'est diablement long : 12h30 à regarder des films en bougeant peu (juste un tour de temps en temps pour la circulation), on s'ennuie ferme au bout d'un moment (pourtant, ce n'est que le début).

Arrivée à Singapour à 7h du matin (il est minuit à Paris). La ville est dans la brume, il fait 26 degrés, l'atmosphère est assez étouffante. Normal en même temps, l'équateur n'est pas bien loin. L'aéroport est superbe. Il relègue Roissy au rang d'aérogare du tiers monde.
La moquette est omniprésente, épaisse, avec de jolis motifs. Les murs ne sont pas "bruts de béton", ils sont au minimum peints, et bien souvent recouverts de panneaux de finition. Le hall est un gigantesque centre commercial, il n'y a pas de zone "duty free" au sens proprement parler,
car la cité-état est entièrement "duty free" !

De 2009 11 13 - Voyage aller


On ne fait que passer, mais on se dit qu'on apronfondira la visite au retour, ou l'escale sera de 6h30. Une visite gratuite de la ville est proposée, nous ne manquerons pas de la faire ! Le peu qu'on a pu voir de l'extérieur de l'aéroport semble assez saisissant, la végétation est absolument luxuriante, et les batiments ultra modernes semblent pulluler.

De 2009 11 13 - Voyage aller


On reprend l'avion quasiment aussitôt, toujours avec Singapore Airlines (que je recommande, au passage), et cette fois-ci, direction Auckland.
Le trajet est moins long (quasi 10h, tout de même), mais comme on a déjà bien pioché dans les films intéressants et que la fatigue se fait cruellement sentir, il est passé très lentement. Enfin au final, après quelques turbulences sans gravité autour de l'Australie, tout s'est bien passé.

Premier contact avec la Nouvelle-Zélande : le contrôle des papiers, et les contrôles douaniers. Un peu d'attente, mais rien de particulier à signaler. Les néo-zélandais sont totalement paranoïaques en ce qui concerne les risques d'intrusion biologiques (probablement pour protéger leur faune et leur flore endémique), du coup les bagages sont contrôlées au rayon X à la sortie également.
Les officiers des douanes sont courtois et sympathiques.

Nous appelons comme convenu la navette de notre hôtel, qui vient peu après nous chercher à l'aéroport. Motel sans prétention, joli de l'extérieur mais mal fini et mal isolé à l'intérieur. Ca fera l'affaire.
Fin d'une journée interminable !

2 commentaires:

  1. Coucou ! Merci pour ces nouvelles et pour les photos, pas trop dur le décalage horaire ? Profitez bien ^^

    RépondreSupprimer
  2. J'aime bien la notion de "moins long"...

    RépondreSupprimer